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Le 22 avril 2013, « 40 millions d’automobilistes » publiait l’Institut de l’Accident dans lequel l’association alertait les Pouvoirs publics sur la somnolence au volant, deuxième cause de mortalité sur les routes françaises (première sur le réseau autoroutier).
Dans son texte, le sénateur-maire de Cagnes-sur-Mer, Louis Nègre, attire l’attention de Manuel Valls, ministre de l’Intérieur, sur cette problématique responsable de près de 1000 tués sur les routes chaque année. Le sénateur souhaite connaître les propositions du Gouvernement pour lutter contre la somnolence, largement oubliée aujourd’hui dans les politiques de transport et de sécurité routière.
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Commentaires
Les détecteurs de somnolence devraient être installés dans tous les véhicules...Je ne connais pas le surcoût de ce dispositif mais le coût humain et financierdes accidents de la route vaut bien un petit effort.
Un message pourrait être diffusé sur ce thème..."si vous sentez que votre vigilance diminue, que vos yeux se fatiguent, ARRETEZ-VOUS IMMEDIATEMENT"...Même si vous êtes proche de votre destination. Votre vie et celle des autres peuvent basculer en une fraction de seconde ! Le passager avant peut également "surveiller" le conducteur...il y a des heures et des signes avant-coureurs : yeux qui plissent, clignements plus fréquents et oeil qui diminue...Je l'ai vécu 3 fois en tant que passagère. Ma vigilance nous a permis d'éviter à chaque fois l'accident. Je ne laisse plus le volant pour les longs parcours...Ces endormissements de mon mari ne sont dûs ni à l'alcool, ni à une prise de médicament..il ne boit pas, ne prends aucun médicament, ne se drogue pas !
Bonjour.
Alors voila enfin que quelqu'un s’intéresse à une cause réelle d'accidents graves sur nos autoroutes.Car il faut bien le reconnaître nos pouvoirs publics toutes couleurs politique confondues ne mettent pas beaucoup d'ardeur à régler le délicat problème de la deuxième cause d'accident sur autoroute.
La raison en est simple car difficilement quantifiable la conduite en état de somnolence ne relève que de la responsabilité du conducteur et aucune force de l'ordre, aucune technologie n'est capable aujourd'hui de quantifier la dangerosité sur une échelle de valeur ou barème d'un état physiologique qui ne serait pas adapté à la conduite automobile.Je précise automobile car les deux roues ne sont pas concernés,impossible de dormir sur autoroute en moto surtout l'hiver.
Pour résoudre le problème,l'on sait que de faire appel à la seule responsabilité des conducteurs ne fonctionne pas.Au premiers signes de somnolence l'on crois toujours pouvoir gagner sur le sommeil et de faire quelques kilomètres de plus ne semble pas impossible et c'est là qu'arrive le pire.Les bandes rugueuses qui délimitent les voies ne semblent pas encore suffisantes de même que les éclairages autoroutiers en place aux échangeurs pour enrayer le phénomène.En Belgique les autoroutes sont éclairées sur toute leur longueur,cela est t'il une partie de la solution ?
Les nouvelles technologies embarquées dans les véhicules pourraient apporter aussi leur solution en équipant ceux-ci.Des détecteurs par mini caméra de somnolence pourraient être relié à un système d'alarme qui préviendrait immédiatement le conducteurs qu'il s'endort.Les camions seraient bien sur équipé par obligation légale de ce système par ce que souvent impliqué dans les accidents autoroutier du au manque de sommeil.La France est la plaque tournante du transport routier en Europe car centrale géographiquement,c'est des milliers de camions qui transitent par jour et par nuit sur nos routes.
Pour finir,je voudrais dire un petit mot sur le sénateur maire qui est à l'origine du rapport.Il faut savoir qu'il est aussi maire de Cagnes sur mer et que ceux qui habitent cette ville ou qui la traversent régulièrement savent comment Monsieur le maire frise par sa politique de sécurité routière la démesure et parfois même se met hors la lois.
En effet je cite quelques abus:
Zone 30 en progressions constante (bientôt toute la ville sera zone 30),
Ralentisseurs illégaux,évidement pas aux normes de construction,placés à des endroits interdit pas la loi comme par exemple les descentes en forte pente et les axes utilisés par des lignes régulières de transport en commun.Et que dire des deux très mauvais ralentisseurs sur la quartes voies limitée à 50 km/h qui relie Cagnes sur mer à la Colle sur loup dont le trafic intense dépasse largement les 3000 véhicules par jour,chiffre limite que l'axe concerné ne doit pas dépasser pour avoir le droit d'y construire un ralentisseur.
Et que dire aussi de la limitation de vitesse imposée aux vélos à 10 klm/h sur le bord de mer équipé d'une piste cyclable partagée avec les piétons.Les PV pleuvent et la la police municipal fait ses choux gras verbalisant à tour de bras des cyclistes incrédules qui pour la plupart ne sont même pas munis de compteur de vitesse non obligatoire sur un vélo.
Voila connaissant le personnage je pense que sa réflexion est d'abord d'ordre répressive que véritablement dirigé vers l'amélioration des conditions de circulation.Cela serait trop beau si demain l'on se munissais d'un outils capable de surprendre les usagers somnolant et de les verbaliser ensuite pour état physiologique incompatible avec la conduite automobile.Les intégristes de la sécurité routière ne réfléchissent qu'en terme répression et de leur donner trop d'importance ne va que dans le sens des restrictions de liberté individuel et de déplacement.Méfions nous d'eux car demain c'est le territoire entier qui sera équipé comme Cagnes sur mer.