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Une des caractéristiques de notre temps est d'avancer un chiffre pour justifier un discours. Le plus récent est celui de Greenpeace pour la pollution. Pas de références scientifiques, mais reprise systématique par tous les médias. On ne vérifie rien. Il en va de même pour la sécurité routière. Des chiffres sont donnés sans aucune base, aucune analyse. Je reste stupéfait d'entendre les partisans du contre et du pour les 80 km/h utiliser les mêmes chiffres pour leur donner un sens forcément différent, justifiant le discours. La seule base objective reste l'analyse. Circonstances précises des accidents et leurs concéquences sur l'ensemble du térritoire. Notre siècle est celui des statistiques, sauf dans ce domaine.
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Réponses
Concernant la sécurité routière c'est flagrant, cela encore plus loin puisque même les rapports d'accidents sont "bricolés" pour qu'ils collent aux messages officiels et si ce n'est possible on les supprimé tout simplement.
C'est simple les pouvoirs publics déterminent d'abord un message et ensuite il faut "inventer" un rapport qui le justifie... Les français ne sont pas dupes et c'est une des raisons de leur rejet de la politique routière...et du reste