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Selon RMC, le gouvernement, qui compte rendre possible l'expérimentation des véhicules autonomes sur toutes les routes dès 2019, a tranché sur la question de la responsabilité en cas d'accident : ce n'est pas le conducteur qui sera responsable, mais les titulaires des expérimentations.
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Réponses
Et les générations qui sont là aujourd'hui et qui ont 20 ans et moins, représentent le summum de l'abêtissement.
Mais l'humain pourra hacker le système...
La conduite autonome finira par s'imposer, je n'en ai - malheureusement - aucun doute. Car l'intelligence artificielle va faire des progrès exponentiels en capacité d'apprentissage. Il ne restera peut-être plus que quelques domaines de conduite très particuliers (petites routes de montagne enneigées, par exp) qui nécessiteront encore le talent humain.
Mais toute la période de transition pour basculer progressivement de la conduite humaine à la conduite autonome verra forcément des accidents impliquant la responsabilité de voitures autonomes. Et le seul responsable juridique en sera le concepteur et le constructeur de la voiture. Il n'y a qu'à voir le conducteur de la Volvo Uber qui a renversé et tué une cycliste en Arizona : il n'était absolument pas concentré sur la route, levait de temps en temps le regard (de son téléphone ?) pour jeter un œil rapidement sur la route. Il ne peut pas être tenu responsable de la mort de la cycliste puisque la voiture aurait dû réagir à sa place.
Et encore, avec les progrès constant des aides à la conduite type ABS ou répartition de la motricité sur 2 ou 4 roues motrices elles pourront rouler partout quelque soit les conditions climatiques...