40 millions d'automobilistes (64)

Cela faisait des années que " 40 millions d'automobilistes " demandait le gel des tarifs de péages. Mais en novembre 2014, l'association décidait d'aller plus loin, en demandant la baisse des tarifs autoroutiers. Manuel Valls, Premier ministre, vient de confirmer qu’il n’y aurait pas d’augmentation des tarifs de péages pour l’année 2015.

L’association « 40 millions d’automobilistes » considère cette décision comme une seconde victoire dans ce dossier. Il faut tout de même rappeler que le 27 janvier dernier, le Gouvernement annonçait une première fois un gel des tarifs autoroutiers. Mais à l’origine c’est une baisse des tarifs qui avait été envisagée, en novembre 2014, par Ségolène Royal, ministre de l’Ecologie et des Transports et Emmanuel Macron, ministre de l’Economie.

Afin que la hausse interminable des prix des péages cesse enfin,  l’association avait lancé en novembre dernier la pétition « STOP aux péages trop chers » sur le site Internet www.stopauxpeagestropchers.com, qui a recueilli à ce jour plus de 150 000 signatures. Parallèlement, l’association avait demandé à tous les élus parlementaires, présidents de partis et de groupes politiques de s’engager en faveur ou contre une baisse du prix des péages. La liste des 44 personnalités politiques ainsi engagées aux côtés de « 40 millions d’automobilistes » avait été publiée le 27 janvier dernier.

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Depuis plusieurs mois, l’association « 40 millions d’automobilistes » a reçu un grand nombre de témoignages d’automobilistes, flashés à répétition par les radars situés dans le tunnel duplex de l’A86. L’association avait déjà pointé du doigt ce radar parmi les 72 radars ressentis comme des traquenards par les automobilistes dans l’opération « Raconte-moi ton radar » en 2013. Aujourd’hui, mardi 03 mars 2015, « 40 millions d’automobilistes » dénonce un dispositif onéreux, inutile et piégeux, constitué de pas moins de 12 radars de contrôle de vitesse automatiques pour seulement 18 km d’autoroute et pour lequel les automobilistes paient un droit de péage exorbitant.

Le seul tronçon payant de l’A86

Construit et exploité par la société concessionnaire Cofiroute, le duplex de l’A86 est un tunnel autoroutier reliant Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine) et Vélizy (Yvelines) en sous-terrain. Permettant aux automobilistes d’éviter les embouteillages qui encombrent les voies de surface aux heures de pointe, le tunnel est le seul tronçon payant de l’A86. Selon l’heure à laquelle ils empruntent le duplex et s’ils disposent ou non d’un abonnement, les usagers
doivent s’acquitter d’un droit de péage pouvant atteindre 20,50 € pour parcourir les 18 km du tunnel (trajet aller-retour).

Un radar tous les 1,7 km

Mais là où le bât blesse, c’est que le duplex est équipé de 12 radars jalonnant les deux sens de circulation, sous prétexte de préserver la sécurité des usagers. Or, en raison d’un lourd défaut de signalisation, en plus de payer un tarif de péage exorbitant (le tunnel de l’A86 est le 4ème tronçon autoroutier le plus cher de France !), les automobilistes écopent souvent de multiples amendes pour excès de vitesse. Ainsi, on peut compter un radar de vitesse tous les 1,7 km ! Certes, il est nécessaire de faire respecter la vitesse de 70 km/h dans le tunnel ; un accident, même mineur, dans ce type d’infrastructure peut vite tourner au drame. Mais il est parfaitement inacceptable que les automobilistes se fassent flasher en raison d’une mauvaise information, et ce, jusqu’à 6 fois de suite, parce que les flashs des radars ne sont pas visibles ! Certains usagers ayant contacté " 40 millions d'automobilistes " ont même perdu leur permis de conduire dans ce duplex.

L'association estime que 12 radars de vitesse sur une section si courte, c’est une aberration. En termes de sécurité routière, cela n’a aucun sens : un radar bien annoncé à l’entrée du tunnel, dans chaque sens de circulation, suffirait amplement à assurer le respect de la limitation de vitesse à 70 km/h dans la totalité de l’ouvrage, conformément à la loi, et ne pourrait être taxé de piège ou de « tirelire » par les usagers.

Un dispositif de sanction unique en France

Ces verbalisations sont d’autant plus inacceptables que d’après le site Blog.radars-auto.com, le dispositif de contrôle-sanction automatique servant à relever les infractions a été « homologué spécialement pour être installé sous le tunnel duplex de l'A86 » et ne peut être mis en place nulle part ailleurs : ce modèle de radar flashe en effet les véhicules par l’arrière, depuis une cabine installée à une hauteur comprise entre 2,4 mètres et 3 mètres. Or, la hauteur minimum des ouvrages d’art situés sur autoroute est de 4,5 mètres. Ce dispositif de contrôle-sanction automatique de vitesse unique en France a flashé plus de 92 000 fois en 2013.

L’appel au ministre de l’Intérieur

Aussi, l’association « 40 millions d’automobilistes » adresse aujourd’hui un courrier à Bernard CAZENEUVE, ministre de l’Intérieur, pour demander la suppression des 5 radars automatiques superflus dans chaque sens de circulation du tunnel duplex de l’A86, ainsi qu’un rappel régulier de la limitation de vitesse à 70 km/h tout au long du tunnel et une meilleure signalisation des radars restants.

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À l’issue des négociations relatives à l’évolution du prix des péages pour 2015 entre les sociétés concessionnaires d’autoroutes et le Gouvernement, Matignon vient d’annoncer, aujourd’hui mardi 27 janvier 2015, un gel des tarifs pour l’année 2015.
 
En lieu et place de l’augmentation mécanique habituelle des tarifs chaque 1er février (une hausse moyenne de 0,57% était annoncée le 27 novembre 2014), les automobilistes français bénéficieront donc d’un gel des prix des péages pour l’année 2015.
 
L’association « 40 millions d’automobilistes » considère cette décision comme une première victoire dans ce dossier, car il faut tout de même rappeler que c’est initialement une baisse des tarifs qui avait été envisagée par Ségolène ROYAL, ministre de l’Ecologie et des Transports et Emmanuel MACRON, ministre de l’Economie.
 
C’est d’ailleurs dans ce but que l’association avait lancé en novembre dernier la pétition « STOP aux péages trop chers » sur le site Internet www.stopauxpeagestropchers.com , qui a recueilli à ce jour plus de 140 000 signatures.
 
Parallèlement, l’association avait demandé à tous les élus parlementaires, présidents de partis et de groupes politiques de s’engager en faveur ou contre une baisse du prix des péages. La liste des 44 personnalités politiques ainsi engagées aux côtés de « 40 millions d’automobilistes » est disponible à ce lien : http://bit.ly/1D1LUzS

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Aujourd’hui, mardi 27 janvier 2015, le Comité des usagers de la route se réunit pour connaître l’augmentation ou la baisse des prix des péages. En attendant l’annonce, l’association « 40 millions d’automobilistes » publie la liste des élus qui se sont prononcés en faveur d’une réduction des prix des péages suite à un appel lancé par notre association à tous les parlementaires et présidents de partis politiques.

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Les élus qui veulent une baisse des prix des péages

Dans un premier courrier envoyé aux parlementaires et aux présidents de partis politiques, « 40 millions d’automobilistes » demandait de se prononcer pour ou contre une baisse des tarifs autoroutiers. L’association recevait alors de nombreuses réponses venant de tous horizons politiques « 40 millions d’automobilistes » a ensuite relancé, à la mi-janvier, les élus qui n’avaient pas répondu. Aujourd’hui, 43 parlementaires, et 1 seul président de parti politique ont répondu positivement à l’appel lancé par l’association en faveur d’une baisse des coûts des péages.

Si des réponses nous sont parvenues de tout bord politique confondu, le seul président de parti politique signataire est Nicolas Dupont-Aignan, député et président du parti Debout la France.

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La renationalisation ? De la poudre aux yeux !

Nous avons été frappés de voir que la plupart des parlementaires ont botté en touche, refusant de se prononcer. En fin d’année 2014, 150 parlementaires avaient demandé, dans un courrier au Premier ministre, la renationalisation des autoroutes. L’un des cosignataires, Jean Glavany, député des Hautes-Pyrénées, a indiqué dans une interview le 12 décembre dernier sur Sud radio que « l'intérêt général n'était pas de baisser les prix des autoroutes ».

Sur les 150 parlementaires qui demandent la nationalisation des autoroutes, aucun n’a répondu à notre demande. Leur silence en dit long ! Nous rendons public ce matin le courrier signé par les 44 élus engagés en faveur de la baisse du prix des péages. »

Une pétition recueillant plus de 140 000 signatures

Alors que le Gouvernement s’engageait fermement en faveur d’une baisse des tarifs des péages en fin d’année 2014, une hausse des tarifs des péages devrait être entérinée aujourd’hui, « 40 millions d’automobilistes » appelle que sa pétition en ligne www.stopauxpeagestropchers.com a enregistré à ce jour plus de 140 000 signatures.

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Alors que 2014 s'est clôturé sur un bilan de sécurité routière négatif affichant une légère reprise à la hausse des accidents après 12 années de baisses consécutives, l'association « 40 millions d'automobilistes » tenait à décrypter ce résultat.

Il n'existe pas de « bonne » année de sécurité routière

En préambule et pour lever toute ambiguïté, nous devons préciser qu'il est très difficile de parler de « bonne » année de sécurité routière tant que nous dénombrerons des décès sur les routes. Cependant, force est de constater que le bilan 2014, souvent présenté ces derniers jours comme « noir », doit être relativisé. 2014 est en effet la deuxième meilleure (ou moins mauvaise) année de sécurité routière depuis la création des statistiques. En aucun cas, l'année 2014 ne vient rompre la courbe de baisse des accidents amorcée en 1972. Le bilan 2014 aura juste le tort de s'inscrire suite à un bilan 2013 marquant une chute brutale de l'accidentalité. Rappelons tout de même qu'avec un premier bilan évalué par l'association de 3389 tués sur les routes, 2014 affiche 256 victimes de moins qu'en 2012 et 870 de moins qu'en 2011.

Des disparités régionales avérées et un bilan en trompe l'œil

Si la hausse de la mortalité sera vraisemblablement inférieure à 4% (3,7 % selon nos estimations) à l'échelle du territoire national, notons tout de même que cette hausse n'est pas équilibrée. Ainsi, la Bretagne voit par exemple sa mortalité routière augmenter de 14%, l'Alsace de plus de 41%. A elles seules, ces deux régions portent près de 40% du poids de l'augmentation de la mortalité routière nationale. Dans ce contexte, impossible de mettre en avant l'argument d'un changement de comportement des automobilistes français face à un relâchement de la répression, d'autant que l'Alsace, comme la Bretagne s'est dotée de radars mobiles de dernière génération cachés dans les plaques d'immatriculations des véhicules banalisés des forces de l'ordre.

Rappelons aussi pour lever toute ambigüité que la période de désactivation des radars bretons suite aux actes de vandalisme n'avait eu aucun effet négatif en termes de mortalité sur les routes. Au contraire, durant les mois de désactivation, les accidents mortels ont été à la baisse.

Si cette hausse montre des disparités régionales, elle montre aussi d'énormes disparités entre les usagers. Ainsi, si les automobilistes semblent être épargnés par la hausse du nombre d'accidents mortels, il convient de noter que les usagers vulnérables (piétons, cyclistes, 2 roues) sont les catégories les plus touchées par la hausse.

L'effet de la répression focalisée sur la « vitesse » touche à sa fin

Alors que d'autres pays présentant de bien meilleurs résultats que la France en termes de sécurité routière font progressivement marche arrière sur l'augmentation du nombre de radars (comme le Royaume-Uni qui a désactivé près de 60% des radars sur son territoire), la France ne pourra pas désigner en cause de la légère reprise des accidents mortels l'arrêt du développement des radars. Au contraire, la France n'a cessé en 2014 de faire progresser son parc « radars » (fixes et mobiles). Un radar ne mesure qu'un seul paramètre de sécurité routière : la vitesse à un instant T, occultant de fait tous les comportements dangereux qui n'apparaissent pas au radar (franchissement de ligne continue, distances de sécurité...)

Des mesures à prendre

S'il est capital d'entendre que ce n'est pas la mesure politique à elle seule qui agit sur la courbe des accidents, il est néanmoins nécessaire de reconnaitre les lacunes de notre pays qui n'apparait pas dans le haut du classement de la sécurité routière à l'échelle européenne.

  • Entretenir les routes : chaque année, les dépenses de l’État pour l'entretien de nos routes diminuent comme une peau de chagrin. Pourtant il s'agit d'un des trois paramètres capitaux pour assurer la sécurité des usagers (un véhicule en bon état conduit par un usager raisonnable sur une route entretenue). De même les investissements routiers français pâtissent aujourd'hui d'un lobby environnementaliste qui considère que tout investissement routier est un mauvais signal pour la préservation de la « planète ». Rappelons que la sécurité routière nécessite surtout des investissements pour préserver la vie des usagers de la route.
  • Lutter contre les drogues au volant : « 40 millions d'automobilistes » rappelle que de plus en plus d'accidents mortels sont marqués par la présence de stupéfiants lors des analyses sanguines des tués. Nous devons comprendre que sans mesure forte, les stupéfiants au volant deviendront le fléau de la sécurité routière du 21ème siècle.
  • L'alcoolémie : alors que l'Angleterre a réussi le pari de minimiser la mortalité due à l'alcoolémie au volant (7 à 10 % des accidents mortels) tout comme l'Allemagne (20%), la France ne parvient toujours pas à suivre l'exemple de ses voisins européens. En cause notamment, le manque de contrôles alcoolémie comparativement à l'abus de ceux sur la vitesse des véhicules (la France est le seul pays européen à appliquer un retrait de point pour les petits excès de vitesse de moins de 10 km/h)
  • L'usage du téléphone tenu en main : même si certains pays comme la Suède continuent à tolérer l'usage du téléphone tenu en main, plus aucun usager de la route ne conteste la dangerosité de son utilisation lorsqu'il est manipulé. Aussi, « 40 millions d'automobilistes » appelle à une grande campagne de communication sur l'intérêt des systèmes embarqués au sein du véhicule qui permettent de sécuriser au maximum son utilisation.

Bien d'autres pistes encore sont évidemment proposées par l'association « 40 millions d'automobilistes ». En octobre 2013, l'association remettait aux parlementaires ainsi qu'au Ministre de l'Intérieur les idées des automobilistes français pour une amélioration de la sécurité routière dans un livret « Raconte-moi la route de tes vacances, les idées des français pour sauver des vies ».

Une note positive

S'il est incontestable que l'année 2014 présente un bilan de reprise des accidents dans sa globalité, l'association « 40 millions d'automobilistes » souligne que décembre 2014 aura été le meilleur mois de décembre de sécurité routière depuis la création des statistiques, prouvant ainsi qu'il n'y a pas eu de changement de comportement des automobilistes.

Cette donnée atteste aussi que la baisse des prix des carburants n'a pas d'effets négatifs de sécurité routière comme certains voudraient bien le laisser supposer.

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Nous vous en avions parlé en ce début de semaine : le périphérique à 70 km/h vient de fêter sa première année. L'heure était donc naturellement au bilan pour la Mairie de Paris, mais également pour " 40 millions d'automobilistes ", qui avait pointé du doigt les "petits" mensonges par omission de la Mairie.

Dans un même temps, Christophe Nadjovski évoquait l'idée tout à fait personnelle de réduire, une nouvelle fois, la limite de vitesse sur le périphérique à 50 km/h la nuit. Suite à la communication offensive de " 40 millions d'automobilistes ", Anne Hidalgo a tranché : il n'y aura pas de réduction de la vitesse à 50 km/h sur le périphérique. Selon des propos rapportés par Le Monde, Mathias Vicherat, directeur de cabinet d'Anne Hidalgo, aurait indiqué qu' "Il n’est pas du tout question de prendre une telle mesure ", puis ajouté « M. Najdovski est en dehors des clous ».

Espérons que cette décision forte de la maire de Paris sera le point de départ d'une meilleure communication entre la ville et les automobilistes.

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Mise à jour du 20/01/15 :

Alors que 59% des Parisiens se disaient défavorables à la mesure (selon un sondage réalisé par le Journal du Dimanche début janvier 2014), la mairie de Paris justifiait sa décision en expliquant que l’abaissement de 10 km/h de la vitesse maximale autorisée sur le périphérique permettrait à la fois une réduction des nuisances sonores, une diminution de la pollution et une baisse de l’accidentalité. Mais il semble aujourd’hui que, malgré l’enthousiasme et l’autosatisfaction émanant de leur communiqué de presse, le bilan réel de cette première année s’avère en réalité bien plus mitigé.

Hier, la mairie de Paris tirait un premier bilan de la grande mesure qui devait améliorer la vie des Franciliens. Après un an de mise en oeuvre, Christophe Nadjovski, adjoint EELV chargé des transports, prétendait que la réduction de la vitesse maximale autorisée avait permis de diminuer fortement l’accidentalité sur le périphérique et d’établir le nombre d’accidents à « son plus bas niveau depuis 10 ans ». Ainsi, le JDD titrait « Périphérique à 70
km/h : 115 accidents évités en 2014 ».

Or, on se rend compte aujourd’hui que la mairie de Paris s’est rendue coupable de mensonge par omission, car si le nombre d’accidents matériels et corporels légers a effectivement diminué de 15,5% par rapport à 2013, le nombre d’accidents mortels a en revanche fait un bond de 75% ! En 2014, 7 personnes ont été tuées dans un accident de la route sur le périphérique parisien, contre « seulement » 4 en 2013, et encore moins les années
précédentes.

Contrairement à ce que veulent donc nous faire croire les pouvoirs publics et alors que l’élu chargé des transports envisage maintenant de réduire la vitesse à 50 km/h sur le Boulevard, la mairie de Paris vient simplement de prouver qu’un abaissement de la vitesse n’apporte pas automatiquement une baisse de la mortalité routière. Ajouté à cela le fait que le volume des nuisances sonores émises par la circulation sur le périphérique n’a diminué
que de 1,2 dBA la nuit et 0,5 dBA le jour (soit une évolution imperceptible pour l’oreille humaine selon les spécialistes ORL) et que les ingénieurs de l’organisme de contrôle de la qualité de l’air Airparif’ ne s’attendent qu’à « un impact limité [de la réduction de 10 km/h de la vitesse] à quelques pour cent sur le dioxyde d'azote et les particules », on se demande ce qui justifie l’engouement des élus parisiens

Publication du 19/01/15 :

Le Journal du dimanche publiait hier, dimanche 18 janvier 2015, un article sur le périphérique parisien où, depuis un an, la limitation de vitesse est passée de 80 à 70 km/h. Selon le JDD, la mairie de Paris ainsi que la Préfecture de police dressent un bilan positif. « 40 millions d’automobilistes » décrypte les arguments.

Premièrement, d’après le JDD, les Parisiens bénéficieraient d’une diminution du bruit de 1,2 décibel la nuit et de 0,5 le jour. Or, Il faut savoir que diminuer le volume des nuisances sonores de 1 dB est imperceptible pour l’oreille humaine.

D’autre part, selon la mairie de Paris, la baisse de la limitation de vitesse sur le périphérique aurait permis de réduire les bouchons (« l’effet accordéon »). Or, les Franciliens qui empruntent régulièrement le périphérique estiment au contraire que le temps passé dans les embouteillages a plutôt augmenté depuis un an.

Dans cet article, on nous explique également que le nombre de décès sur le périphérique parisien a diminué grâce à une réduction de la vitesse. Or, paradoxalement, la vitesse moyenne sur le périphérique a augmenté, de même que le nombre d’usagers flashés (qui a été multiplié par 3,5 !) .Cela signifie que les automobilistes ont roulé plus vite que la limite autorisée, mais qu’ils ont eu aussi moins d’accident. Il n’existe donc aucune corrélation entre réduction de la vitesse et réduction de l’accidentalité routière.

La ville de Paris a également réduit, dans bon nombre de quartiers, la vitesse maximale autorisée, passant ainsi de 50 à 30 km/h. Malheureusement, le nombre d’accidents de la route a augmenté. Donc faut-il réduire le périphérique parisien à 50 km/h, comme l’évoque aujourd’hui Christophe Nadjovski, adjoint à la mairie de Paris ?

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Selon un article paru dans le Journal du Dimanche le 28 décembre 2014, le Gouvernement et les sociétés concessionnaires d’autoroutes songeraient à mettre en place une « tarification écologique » des péages d’ici 2016. Seuls les véhicules dits « propres » bénéficieraient ainsi d’une baisse des tarifs.

Le principe serait de créer une différenciation des tarifs des péages en fonction du degré de pollution émise par les véhicules empruntant le réseau autoroutier. Ainsi, les véhicules à motorisation électrique ou hybride ainsi que ceux servant au covoiturage se verraient gratifier d’un tarif moins élevé au péage, tandis que les propriétaires de véhicules considérés comme polluants continueraient à payer le prix fort pour circuler sur les autoroutes.

Pour l’association « 40 millions d’automobilistes », ce projet de tarification écologique est tout simplement inacceptable : « Ségolène Royal avait promis une baisse du prix des péages pour tous les usagers. Finalement, on risque de se retrouver avec une réduction des tarifs qui ne concernerait potentiellement que 3 à 4 % des automobilistes » dénonce Pierre Chasseray, délégué général de l’association.

Cette différenciation tarifaire permettrait en outre aux sociétés d’autoroutes de poursuivre la hausse des tarifs des péages qu’elles pratiquent chaque année, en la faisant peser essentiellement sur les véhicules les plus émetteurs. « Une fois de plus, on va pénaliser les automobilistes les plus modestes, ceux qui n’ont pas les moyens de s’équiper d’un véhicule neuf » s’inquiète Daniel Quéro, président de « 40 millions d’automobilistes ».

« Les automobilistes ne veulent pas d’une mesure qui ne bénéficierait qu’à une élite ; ils souhaitent qu’elle profite à l’intérêt général, pour la sécurité et le pouvoir d’achat de tous les Français. C’est pourquoi nous demandons une baisse généralisée des tarifs des péages » conclut Daniel Quéro.

>>> Avec " 40 millions d'automobilistes " exigez la baisse des tarifs autoroutiers en signant notre pétition : http://stopauxpeagestropchers.com <<<

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>>> Pour consulter le livret, cliquez ici <<<

96 % des automobilistes ignorent que l’amortisseur est un élément de sécurité. L’association « 40 millions d’automobilistes » publie en ce lundi 15 décembre 2014 un fascicule, L’amortisseur : un organe essentiel de sécurité, un guide pratique pour mieux comprendre l’utilité de l’amortisseur, indispensable pour notre sécurité au volant. L’association, d’intérêt général, remplit son rôle en informant les automobilistes sur la sécurité routière.

L’objectif de ce livret


Dans un livret de 16 pages, « 40 millions d’automobilistes » informe et conseille les usagers de la route sur le rôle, le fonctionnement et l’entretien des amortisseurs. De plus, l’association explique les risques engendrés en cas d’amortisseurs usés. A la fin du document, les lecteurs pourront tester leurs connaissances en 10 questions. Le livret L’amortisseur : un organe essentiel de sécurité sera consultable dans les Automobiles Club partenaires de
l’association, membres de l’UNAC. « 40 millions d’automobilistes » enverra gratuitement un exemplaire du livret à toute personne qui en fera la demande. Il est consultable également sur le site Internet de l’association www.40millionsdautomobilistes.com.


Le rôle de l’amortisseur


Sur un véhicule, l’amortisseur est à la fois un élément de :

  • Confort : l’amortisseur absorbe les chocs dus aux déformations de la chaussée et préserve ainsi le confort du conducteur et de ses passagers.
  • Sécurité : il permet de maintenir les roues de la voiture en contact avec le sol et donc de favoriser la sécurité des usagers, en particulier en cas de virage brutal ou de freinage d’urgence.
  • Longévité : l’amortisseur participe à préserver le bon état et l’efficacité des autres éléments du système de suspension et de liaison au sol, favorisant l’adhérence de la voiture à la route.

La dégradation des amortisseurs provoque une diminution des performances de freinage, qui se traduit par un allongement des distances de freinage en ligne droite de 5 à 10 % (jusqu’à 2,5 mètres à 50 km/h, soit la largeur d’un passage pour piétons). Pour illustrer ce problème, la collective des amortisseurs vient de sortir une vidéo très impactant sur ce sujet (pour consulter la vidéo, suivez ce lien).


Les conseils de « 40 millions d’automobilistes »


Nous rappelons que les amortisseurs doivent être contrôlés tous les 20 000 km. Selon le type de conduite et l’environnement, l’usure des amortisseurs sera plus ou moins importante pour un même véhicule. Tout d’abord, il s’agit d’éviter autant que possible de rouler sur les éléments qui occasionnent une perturbation brutale de la conduite (déformations de la chaussée telles que les « nids de poule », franchissement de trottoirs….) et d’aborder lentement les ralentisseurs et dos d’âne.


Une seconde règle, également valable pour préserver les pneus et économiser le carburant, est la conduite souple. Freinez en douceur, abordez les virages sans trop de vivacité de façon à solliciter le moins possible vos amortisseurs.

« Les amortisseurs restent sensibles à l’usure mécanique. C’est pourquoi il est important de procéder à un entretien régulier et d’être attentif aux signes pouvant trahir une dégradation de l’état des amortisseurs » indique Daniel Quéro, président de l’association.

>>> Pour consulter le livret, cliquez ici <<<

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Radars, et c'est pas fini !

Depuis ce matin, vendredi 12 décembre 2014, la Sécurité routière expérimente de nouveaux radars : double face et double cabine. Le radar double face flashe les véhicules par l’avant et par l’arrière. Le radar double cabine (composé de deux appareils distants d’une dizaine de mètres) flashe un même véhicule simultanément, par l’avant et par l’arrière. Pour l’association " 40 million d’automobilistes ", installer de nouveaux radars ne servirait qu’à renflouer une fois de plus les caisses de l’État.

Selon le communiqué de la Sécurité routière, cette expérimentation se déroule sur 4 sites dans le Rhône, pour une période de 3 mois renouvelables si nécessaire. Pendant cette période test, les radars flasheront, mais les usagers ne devraient pas recevoir d’amende.

Il faut savoir que 38 % des flashs des radars n’aboutissent pas, par manque de lisibilité de la plaque d’immatriculation. Par ailleurs, les recettes prévisionnelles des infractions routières sont en baisse par rapport aux années précédentes. On peut donc supposer que cette mesure est prise pour améliorer le nombre de flashs exploitables et diminuer les contestations qui permettent de ne pas perdre de points, dans la mesure où l’on ne reconnait pas le conducteur lorsque le véhicule est flashé par l’arrière. Cette mesure permettrait d’améliorer la rentabilité du système.

« 40 millions d’automobilistes » s’oppose à cette expérimentation qui s’en prend encore une fois au porte-monnaie des automobilistes plutôt qu’à leur sécurité. Pour Daniel Quéro, président de " 40 millions d’automobilistes " il faut davantage de présence des Forces de l’Ordre sur la route pour déceler les comportements dangereux ce qu’une machine ne pourra jamais faire. »

L’association rappelle également que, dans le Projet annuel de Performance annexé au Projet de Loi de Finance pour l’année 2015, il est mentionné que les radars devraient rapporter 783,1 millions d’euros à l’État. Si la Sécurité routière voulait réellement réduire le nombre de décès sur les routes, elle se pencherait davantage sur les premières causes de mortalité, qui sont l’alcoolémie et la somnolence au volant.

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Selon le quotidien Le Parisien / Aujourd’hui en France publié ce vendredi 5 décembre 2014, le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, annoncerait en janvier 2015 des mesures de sécurité routière dont l’expérimentation d’une baisse des limitations de vitesse passant de 90 à 80 km/h sur le réseau secondaire.


Le 16 juin dernier, lors de la séance plénière du Conseil National de la Sécurité Routière à laquelle a siégé M.Quéro, président de « 40 millions d’automobilistes », le ministre de l’Intérieur se voulait rassurant et rejetait toute idée d'abaissement généralisé des limitations de vitesse. Il déclarait ensuite, en marge de cette réunion à Pierre Chasseray, délégué général de l’association, qu’il n’y aurait pas de baisse des limitations de vitesse car cette mesure n’est pas acceptée par l’opinion publique.

www.nonalabaissedesimitationsdevitesse.com


Si d'un point de vue économique, les économistes semblent être vent debout contre cette mesure à l'instarde Rémy Prud’homme ou encore Jean Poulit qui affirment qu'un abaissement de la limitation de vitesse sur les axes secondaires représenterait une perte de plusieurs milliards d’euros par an, l'intérêt en termes de sécurité routière n'est quant à lui pas avéré.

L’Angleterre est un pays de référence en matière de sécurité routière au niveau européen. Pourtant, la vitesse des axes secondaires y est limitée à 97 km/h (60 miles/h) avec des résultats bien meilleurs qu’en France. En Allemagne, même constat ! La vitesse y est pourtant limitée à 100 km/h sur les axes secondaires et les résultats sont inexorablement plus flatteurs que dans l’hexagone. Dans l’écrasante majorité des pays européens, la vitesse
de 90 km/h semble uniformisée.

Dans un film réalisé par l'association « 40 millions d'automobilistes » en mai dernier (« L'Angleterre, la fin de la guerre contre les automobilistes » diffusé et visible sur Dailymotion et présenté à l'Assemblée nationale lors d'une conférence de presse aux côtés du Député-Maire de Villiers sur Marne, Jacques Alain Bénisti), les acteurs de la sécurité routière britannique apparaissent pour le moins interrogatifs sur la volonté d'abaissement des limitations
de vitesse en France.

Quant au Danemark, il est en train d'expérimenter depuis 2 ans avec réussite la hausse des limitations (le Danemark augmente sa limitation de vitesse sur le réseau secondaire de 80 à 90 km/h).

« Le ministre nous a promis des mesures intelligentes. Généraliser la baisse des limitations de vitesse serait une erreur fondamentale. Nous préférons nous en tenir au propos du ministre. Nous ne voulons pas croire en cette mesure qui serait contre-productive car rejetée par l'opinion publique» déclare Pierre Chasseray, délégué général.

Depuis juillet 2013, lors de la première prise de position de l’ancien ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, « 40 millions d’automobilistes » se bat contre une baisse généralisée des limitations de vitesse passant de 90 à 80 km/h. En octobre de la même année, l’association avait lancé un appel à tous les usagers de la route à venir signer la pétition pour dire « Non à la baisse des limitations de vitesse » sur le site Internet www.nonalabaissedeslimitationsdevitesse.com. « La position de « 40 millions d’automobilistes » est très claire, nous sommes opposés à une baisse généralisée de la limitation de vitesse sur le réseau secondaire ! » conclut Daniel Quéro, président de l’association.

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Ce mardi 18 novembre 2014, l’ONISR (Observatoire national interministériel pour la Sécurité Routière) publie un bilan de l’accidentalité routière pour octobre 2014 qui fait état d’une hausse de 13% du nombre de tués sur les routes par rapport au mois d’octobre 2013.

Cette hausse regrettable s’explique en partie par les excellentes conditions climatiques dont ont bénéficié les usagers de la route le mois dernier, les incitant à multiplier leurs déplacements motorisés, mais également à pied et à vélo, provoquant ainsi une augmentation des accidents dont ont été victimes les usagers vulnérables.

Tandis que les lobbies autophobes voient en cette hausse un moyen pour mieux faire passer la baisse des limitations de vitesse, " 40 millions d'automobilistes " est, encore une fois, la seule association à prendre position et à relativiser face à cette annonce.

S’il ne s’agit en aucun cas de minimiser cette hausse des chiffres derrière lesquels se cache à chaque fois un drame humain, il convient cependant de rappeler qu’une hausse mensuelle n’est pas significative (la France est d’ailleurs le seul pays au monde à publier des statistiques mois après mois) et qu’il est plus pertinent d’analyser des tendances de fond s’étalant sur plusieurs années. On remarque à ce sujet que cette hausse exceptionnelle s’inscrit dans un contexte de baisse régulière qui dure depuis 12 ans.

La baisse de la mortalité routière est donc en partie mécanique, mais pour Pierre Chasseray, délégué général de l’association « 40 millions d’automobilistes », « s’il est une mesure à prendre pour favoriser la réduction des accidents mortels, c’est d’amplifier la lutte contre l’alcool au volant, qui demeure la première cause de mortalité. À ce sujet, on attend toujours l’application de la loi qui prévoit la mise en place de l’EAD (Ethylotest antidémarrage) pour les délinquants à l’alcool au volant ».

Une des nouvelles problématiques émergentes en termes de risque routier est la consommation de produits stupéfiants, détectés dans pas moins de 20% des accidents mortels. « L’annonce par le ministre de l’Intérieur de l’arrivée des double tests salivaires en expérimentation dans une dizaine de départements devrait permettre de faire évoluer les pratiques et de lutter concrètement contre les comportements dangereux sur la route » conclut Daniel Quéro, président de l’association.

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Le 1er février 2008, le Comité interministériel pour la Sécurité routière (CISR) décidait de rendre obligatoire la présence d'un gilet de sécurité et d'un triangle de pré-signalisation à bord de tout véhicule. Depuis la mise en place de la mesure, alors que la loi prévoit que l’absence des deux objets doit donner lieu à une seule contravention, certains gendarmes et policiers verbalisent doublement les automobilistes, qui doivent alors s'acquitter de 270 € au lieu de 135 !
 
De nombreux automobilistes sanctionnés deux fois à tort !
 
C'est le constat fait par l'association " 40 millions d'automobilistes ", qui reçoit régulièrement des témoignages d'automobilistes doublement verbalisés pour ne pas avoir présenté le gilet de sécurité et le triangle.
 
Les automobilistes, bien souvent victimes de l'ignorance de certains agents sur le texte de loi, payent alors leurs amendes, sans se douter qu'ils n'avaient à en régler qu'une seule. Mais ce n'est pas tout : ceux qui tentent de contester l'infraction devront peut-être également se heurter à la méconnaissance de l'administration !
 
Pourtant, la loi est claire…
 
Que nous dit la loi ?
 
L'article R416-19 indique qu'en circulation, l'automobiliste doit disposer du triangle de pré-signalisation ainsi que du gilet de sécurité à portée de main. Le fait, pour tout conducteur, de contrevenir à une ou plusieurs des dispositions de cet article ou à celles prises pour son application est puni de l'amende prévue pour les contraventions de la 4ème classe. L'automobiliste ne doit donc payer qu'une seule amende pour l'absence du gilet et/ou du triangle dans son véhicule, même si l'agent verbalisateur lui en a adressé deux.
 
Suite à la mise en application des décisions annoncées par le CISR, le scandale de la double-sanction a rapidement été dénoncé en média par " 40 millions d'automobilistes ". Le ministère de l'Intérieur est intervenu dans la journée pour pointer du doigt la mauvaise interprétation du texte par les forces de l'ordre, puis a confirmé qu'il n'y aurait qu'une seule contravention.
 
Une circulaire destinée aux policiers et aux gendarmes a peu après été communiquée par le ministère :  "Je vous demande de donner les directives nécessaires pour que vos services et unités relèvent une seule infraction à l'égard de tout conducteur circulant à bord d'un véhicule et ne disposant ni du triangle de pré-signalisation ni du gilet de haute visibilité. "
 
Malgré la circulaire, il n'est pas rare que les automobilistes soient encore sanctionnés deux fois au lieu d'une.
 
La procédure à suivre
 
En cas de double-verbalisation pour l'absence du gilet et du triangle, l'automobiliste devra s'acquitter du montant de l'une des deux contraventions. Il devra contester la seconde par courrier envoyé en recommandé avec accusé de réception, en joignant la copie des deux contraventions ainsi que le justificatif du paiement de la contravention réglée.
 
Dans son courrier, l'automobiliste devra mentionner le fait qu'il a payé l'une des deux amendes, qu'il ne conteste pas l'infraction en elle-même, mais le fait qu'elle ait fait l'objet d'une double-verbalisation, alors que la loi ne prévoit qu'une seule contravention pour l'absence des deux éléments.
 
Il est aussi plus prudent de joindre au courrier la copie de la circulaire évoquée ci-dessus. En effet, " 40 millions d'automobilistes " a déjà dû intervenir dans des cas où des automobilistes qui avaient contesté la double-verbalisation se heurtaient au refus du motif de la contestation par l'administration, qui ignorait elle-même les dispositions du texte de loi.
 
Si l'automobiliste verbalisé a déjà payé les deux contraventions, il est possible de se faire rembourser, comme l'a indiqué le ministère :  « Ceux qui ont déjà payé pourront se faire rembourser parce que cela a été effectivement mal interprété », a rapporté Le Figaro. À ce moment là, la procédure est identique, à la différence que l'automobiliste devra joindre le justificatif du paiement des deux contraventions et demander dans son courrier le remboursement de l'une des deux amendes.

 

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Mardi 14 octobre 2014, le quotidien Le Parisien/Aujourd’hui en France révélait une étude de la société d’info-trafic américaine INRIX menée en collaboration avec l’institut de recherche CEBR selon laquelle les embouteillages auraient coûté près de 17 milliards d’euros à l’économie française en 2013.


Ce coût déjà démesuré pour les automobilistes français devrait atteindre 22 milliards d’euros dans les 15 prochaines années, dans la mesure où le parc automobile va continuer de croître (de 30,8 millions de véhicules aujourd’hui à environ 35 millions en 2030) et le trafic de s’intensifier (+14% attendus d’ici à 2030).


À ce sujet, l’association « 40 millions d’automobilistes » rappelle que, paradoxalement, les budgets alloués à l’entretien et à la création d’infrastructures routières sont en chute libre depuis de nombreuses années. Le besoin en infrastructures de qualité et en quantité suffisante ne cesse de croître. Des solutions existent pour fluidifier la circulation sur les grands axes : on aurait besoin de davantage de voies de contournements des agglomérations, de rocades urbaines… Pourtant, chaque année, ce sont 25% du budget dédié à la route qui sont supprimés.


Si rien n’est fait pour renverser la tendance, non seulement l’économie française continuera à pâtir de ce manque de mobilité, mais ce sont aussi 60 000 personnes qui perdront leur emploi, alors qu’il y a une véritable attente des usagers.

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Dans le cadre de son premier baromètre de l'expertise automobile, " 40 millions d'automobilistes " révèle aujourd'hui le palmarès des véhicules les plus vandalisés, les plus volés, ainsi que le classement des départements où les véhicules sont les plus sinistrés. Pour l'association, L’objectif de ce baromètre est double : il s’agit à la fois d'informer les automobilistes, mais aussi de les renseigner sur les démarches à suivre en cas de vol de véhicule et les conseiller pour que cela ne leur arrive pas.

Pour consulter notre baromètre et découvrir les classements dans leur intégralité, cliquez ici.

Palmarès des 10 voitures les plus vandalisées

1. BMW X5
2. Mini
3. Mercedes Classe M
4. Citroën DS3
5. BMW Série 1
6. Nissan Juke
7. Audi A5/S5
8. Audi A3
9. Nissan Qashqai
10. Volkswagen

Dans ce classement des 10 véhicules les plus vandalisées, une seule voiture sur 10 est de marque française et les autres sont de marques étrangères. Le constat est sans appel ! 1 seul véhicule du top 10 est français. Les automobilistes qui possèdent une voiture de marque française auront plus de chance d’être épargnés par le vandalisme !

Palmarès des 10 voitures les plus volées

1. Smart Fortwo II
2. Renault Clio
3. Citroën Xsara
4. Citroën DS3
5. BMW X5
6. Renault Twingo
7. Citroën DS4
8. Renault Clio 3
9. Peugeot Partner
10. Volksagen Tiguan

Palmarès des 10 départements où les voitures sont les plus sinistrés

1. Rhône
2. Yvelines
3. Nord
4. Bouches du Rhône
5. Gironde
6. Seine Saint Denis
7. Haute Garonne
8. Essonne
9. Seine et Marne
10. Hauts de Seine

Pour consulter notre baromètre et découvrir les classements dans leur intégralité, cliquez ici.

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La mortalité routière n'a jamais été aussi basse pour un mois d'août - 299 tués - depuis la création des statistiques en 1948. Devant ce chiffre historique, Pierre Chasseray, délégué général de 40 millions d'automobilistes, soutient qu'il n'y a pas de corrélation entre la mise en place de mesures répressives et la mortalité routière.

Les statistiques sont formelles... Jamais un été ne s’est avéré aussi peu meurtrier sur les routes depuis 1948 et la création des indicateurs de sécurité routière. Avec une chute de près de 10 % du nombre de décès par rapport à l'été 2013, ces chiffres viennent enterrer les prédictions de ceux qui s'alarmaient déjà des cinq mois de hausse consécutifs entre février et juin 2014.

Il y a deux mois encore, les adeptes de la répression à tout prix étaient en ébullition! Il fallait au plus vite abaisser les limitations de vitesses. Il fallait de nouveaux radars... Profitant de quelques chiffres en légère hausse, nos "champions" des prédictions alarmistes profitaient d'un remaniement ministériel pour mettre sous pression les pneumatiques d'un nouveau ministre de l'Intérieur faisant le choix d'un moment de silence et de recul avant de s'exprimer sur les tendances de la mortalité routière.

Alors que notre association persévérait dans un argumentaire rassurant de baisse mécanique du nombre d'accidents en agitant des rubans blancs en signe d'apaisement, nos opposants, militants de la suspension de permis pour tous, brandissaient des drapeaux noirs, à coups de chiffres et de courbes dévastatrices pour 40 millions d'automobilistes déjà excédés par un régime de la surrépresion.

Et puis il y a eu le 16 juin 2014. Lors du Conseil national de Sécurité routière, Bernard Cazeneuve, ministre de l'Intérieur, annonçait contre toute attente qu'il abandonnait l'idée d'une baisse généralisée des limitations de vitesse, refusant alors de céder au chantage de la boule de cristal prédisant un été meurtrier.

Dans ce contexte, l'annonce quelques jours plus tard de la hausse de la mortalité routière en juin aurait pu sonner le glas pour des milliers de panneaux de limitation de vitesse à "90" tant le terrain médiatique était occupé par les quelques partisans du "tout répression". Leur ode à la punition collective était alors reprise en écho par le monde médiatique telle une vérité universelle. Mais leur stratégie de la peur resta vaine. Le ministre de l'Intérieur ne varia pas le cap,  paraissant préférer l'analyse pragmatique d'une tendance pourtant sans faille : la courbe des accidents n'a jamais cessé de s'améliorer depuis... 1972!!!

Merci, monsieur le Ministre !

A présent, nous sommes en septembre 2014 et nous savons que jamais un été n'a dénombré si peu d'accidents, si peu de décès, si peu de blessés. Comment ne pas s'en réjouir ? Comment ne pas remercier Bernard Cazeneuve de la confiance accordée aux automobilistes ? Comment ne pas le remercier d'avoir choisi de ne pas céder à la pression d'un monde moderne toujours en quête de mesures politiques hâtives pour répondre à un fait conjoncturel ? Où sont passées les sybilles et autres diseuses de mauvaise aventure qui pariaient sur l'inexorable augmentation des accidents ? Leur "excès de vitesse" à vouloir réagir trop vite est sans appel. Comment pourront-ils à nouveau défendre que seule la répression toujours accrue explique la réduction du nombre d'accidents ?

Les voitures évoluent. Toujours plus sûres! Le parc automobile se renouvelle et la sécurité de tous en même temps... La route évolue et les innovations dans la qualité des revêtements de voirie permettent assurément une amélioration constante de la sécurité routière. Encore faut-il que collectivités locales, conseils généraux, régionaux et État mesurent l'importance de l'entretien de notre réseau routier et de la nécessité d'investissement dans des dispositifs de sécurité essentiels à la conduite (marquages au sol, glissières de sécurité). Mais bien évidemment, les mentalités évoluent et les comportements routiers aussi. Bien évidemment, il restera toujours une minorité d'"irréductibles gaulois" convaincus d'être immortels... Et bien entendu, les forces de l'ordre ont un rôle essentiel à jouer. Mais ce n'est pas parce qu'il existe 1% de chauffards que nous devons prendre en otage tous les automobilistes raisonnables et responsables dont notre association souhaite au quotidien se faire l'écho.

Nous sommes aujourd'hui, plus que jamais, 40 millions d'automobilistes militants d'une meilleure sécurité de nos routes, partisans de pistes nouvelles pour sauver des vies, refusant l'infantilisation des automobilistes à la faveur d'une meilleure formation plus moderne.

On ne fait pas de la sécurité contre les automobilistes, on la fait AVEC eux. L'été 2014 prouve qu'il n'existe pas de corrélation entre la mise en place de mesures répressives et la baisse de l'accidentalité routière.

Tribune de Pierre Chasseray publiée par Le Cercle Les Echos

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Ce jeudi 11 septembre, la Sécurité routière publiait les chiffres de l'accidentalité routière pour le mois d'août 2014. Le bilan indique qu'il s'agit du plus faible nombre de morts sur les routes jamais enregistrés.

Pour " 40 millions d'automobilistes ", cette baisse était prévisible. La baisse de la mortalité routière des mois de juillet et août 2014 par rapport aux mois de juillet et août 2013 s’explique par une baisse mécanique de l’accidentalité.

De plus, l'association note que depuis que le ministre de l’Intérieur a annoncé qu’il n’y aurait pas de baisse généralisée de baisse des limitations de vitesse de 90 à 80 km/h, on s’aperçoit d’une diminution de la mortalité sur les routes, ce qui prouve qu’il n’existe aucune corrélation entre la prise de décision politique ou la mise en place de nouvelle mesure répressive à l’encontre des automobilistes et la baisse de l’accidentalité routière.

" 40 millions d'automobilistes " réagit dans les média via AFP :

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Le délégué interministériel à la Sécurité routière Jean-Robert LOPEZ a annoncé aujourd'hui l’expérimentation de nouveaux tests de dépistage salivaire pour renforcer la lutte contre la conduite sous l’influence de stupéfiants, à partir de l’automne prochain, dans plusieurs départements français.


Ce nouveau test, se présentant sous la forme d’un bâtonnet, viendra confirmer et préciser le résultat obtenu par un premier contrôle salivaire ayant mis en évidence la présence d’une substance illicite dans l’organisme du conducteur contrôlé.


La loi française impose en effet aux forces de l’ordre de procéder à deux tests pour valider un contrôle positif aux stupéfiants. Le second test se faisait jusqu’à présent au moyen d’une analyse sanguine réalisée en centre hospitalier et impliquait donc des moyens humains et financiers importants. La mise en œuvre de ce nouveau « deuxième test salivaire » - qui, lui, pourra être réalisé par les forces de l’ordre – viendra faciliter le travail de prévention de la police et de la gendarmerie et leur permettra de pratiquer davantage de dépistages.


" 40 millions d'automobilistes " rappelle que la conduite sous l’emprise de stupéfiants constitue le facteur principal d’accidentalité dans 4% des cas. En outre, des traces de stupéfiants ont été mises en évidence dans 21% des accidents mortels de la route en 2013.

" 40 millions d'automobilistes " prend position en média :

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Ce week-end des 2 et 3 août annonce le grand chassé-croisé de l’été entre les juillettistes et les aoûtiens. Avec une journée de samedi classée noire dans le sens des départs et rouge dans le sens des retours, les automobilistes seront mis à rude épreuve. Parce que les accidents sont davantage une question de comportement que de réglementation, « 40 millions d’automobilistes » vous présente les bonnes dispositions à prendre pour rendre la route de vos vacances plus sûre.

Bien se préparer en amont

Un trajet apaisé passe avant tout par une bonne préparation. Pour être serein sur la route, pensez, avant de partir, au contrôle volontaire : à votre demande,  les centres de contrôles techniques pourront vérifier certains éléments de votre véhicule sur lesquels vous avez des doutes, ou bien effectuer un contrôle intégral des différents éléments de sécurité indispensables à l’approche d’un long trajet.

Pensez à vérifier les pneumatiques : 2/3 des Français roulent avec des pneus sous-gonflés, entraînant ainsi des  distances de freinage plus élevées, une perte d’adhérence en cas de pluie, ou encore un risque d’éclatement du pneu. De même un pneu sous-gonflé aura des répercussions sur votre consommation. Des pneumatiques correctement gonflés vous permettront un gain de 5  % sur votre consommation. Enfin, n’oubliez pas d’adapter la  pression des pneus au poids de chargement de votre véhicule.

Les amortisseurs sont aussi un élément de sécurité indispensable : les distances de freinage sont réduites d’entre 5 et 10  % lorsque les amortisseurs sont efficaces. Pensez également à contrôler les différents niveaux, la propreté de votre véhicule pour une meilleure visibilité, ou encore l’éclairage, qui s’adapte lui aussi au poids de chargement.

Les automobilistes sous-estiment souvent l’importance d’un manque de sommeil avant de prendre la route. Et pourtant, 1 accident sur 4 est causé par la somnolence au volant. Veillez donc toujours à être bien reposé avant de partir.

Enfin, préparez votre itinéraire ! Consultez les conditions météorologique, choisissez le chemin adapté à votre trajet. Programmez votre GPS avant de partir, afin de ne plus y toucher lorsque vous serez en train de conduire.


Évitez les mauvaises surprises !

Il existe des outils pour éviter de se retrouver coincé dans les embouteillages. Certains GPS calculent en temps réel votre itinéraire selon les conditions de trafic, vous proposant alors d’emprunter une autre route, moins congestionnée.

Pour parer aux embûches semées sur la route, vous pouvez vous équiper d’un avertisseur de zones de danger, afin de ne pas être piégé par des configurations  de routes dangereuses... Au cours desquelles se trouvent souvent des radars  !

Pour finir, pensez à faire le plein de votre véhicule avant votre départ. Nombre d’automobilistes se retrouvent à devoir remplir leur réservoir au cours de leur trajet, souvent sur des autoroutes où les tarifs sont exorbitants. Ainsi, vous pourrez économiser jusqu’à une dizaine d’euros sur votre trajet. Mais bonnes nouvelles pour les automobilistes ! Les prix des carburants seront en légère baisse pour ce week-end, selon les tendances fournies par le site carbeo.com.

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Ce matin, à la sortie de la réunion plénière du CNSR, le ministre de l’Intérieur s’est prononcé publiquement en défaveur d’une généralisation de la baisse des limitations de vitesse, notamment en raison du rejet massif de cette mesure par l’opinion publique. Pierre Chasseray, délégué général de l’association « 40 millions d’automobilistes », salue le discours empreint de bon sens du Ministre : « Monsieur Cazeneuve a prononcé des mots que l’on avait plus entendu depuis longtemps en parlant de sécurité routière : il a parlé de prévention et de pédagogie. C’est ce que demande notre association depuis le début de ces débats ». 

Et s’il ne s’oppose pas à l’expérimentation d’une baisse des limitations de vitesse sous condition d’une étude au cas par cas des routes concernées et dans les zones accidentogènes seulement, le ministre de l’Intérieur a ajouté qu’il souhaitait désormais rencontrer et travailler en concertation avec « 40 millions d’automobilistes », parce qu’il est parfaitement illégitime de chercher à imposer une mesure à laquelle s’opposent près de 90% des Français et que d’autres pistes existent pour réduire l’accidentalité routière. 

« C’est une grande victoire pour l’association. C’est une victoire pour les 40 millions d’automobilistes qui sont conscients de l’enjeu de la sécurité sur la route, mais aussi du fait que l’on ne peut pas faire de la sécurité routière la seule dimension des transports. Le Ministre a su entendre leur voix et nous sommes prêt à répondre à son invitation pour travailler ensemble » conclut Daniel Quéro, président de l’association.

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Activité

CHRISTINE AUBRIET ESTAGER replied to TAFFOUREAU's discussion Récupération de permis
"bonjour
L'ANTS a des délais de traitement qui conduisent à avoir un retarit de permis de plus d'1an au lieu des 6mois legaux
De plus la complexité du process peut rebuter beaucoup de personnes
Finalement pour ces 2 raisons on doit avoir un nombre de…"
4 janv.
CHRISTINE AUBRIET ESTAGER replied to TAFFOUREAU's discussion Récupération de permis
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Finalement pour ces 2 raisons on doit avoir un nombre de…"
4 janv.
SAYER Alain commented on 40 millions d'automobilistes's blog post Un décret rend obligatoire la création de ZFE dans certaines agglomérations
"Il y a un point qui m'interpelle depuis le début de la mise en place des vignettes crit'air, le positionnement automatique de tous les diesels en crit'air 2, normes Euro 5 et 6, alors que les véhicules essences 5 et 6 sont en crit'air 1. Ne devrait…"
3 oct. 2023
JCR28500 replied to TAFFOUREAU's discussion Récupération de permis
"Je suis dans la même situation, 15 jour apres la fin de la sanction, et des demarches ANTS rien personne ne repond y compris la prefecture.......quelle fut la suite pour vous ?.. merci"
17 août 2023
Jean Luc replied to DUMAS Pierre Georges's discussion Réseaux routiers
"C'est vrai.
En 2014 Le gouvernement Hollande a décidé une réduction drastique de l'investissement pour l'entretien et le développent du réseau routier. La sanction ne s'est pas fait attendre avec un retour à la hausse de la mortalité sur les routes."
27 juin 2023
Jean Luc replied to olivier's discussion La fin du moteur thermique ?
"mdr
Nous ne connaitrons probablement pas cette fin.
Il n'y aura ni suffisamment de puissance sur le réseau électrique, ni une borne de recharge par place de parking dans 10 ou mème 20 ans par contre il y aura toujours du pétrole."
27 juin 2023
Jean Luc replied to Alain's discussion Limitation de vitesse non justifié
"Bonjour,
Je partage votre sentiment. De mon coté, j'ai plutôt de la chance, sur mon parcours journalier la vitesse limitée à 80km/h a été restaurée à 90km/h.
Sachant que beaucoup de voitures ont un meilleur rendement à 90kmh. A 80km/h, sur ma…"
27 juin 2023
Philippe MILLAN commented on 40 millions d'automobilistes's blog post Taxe au poids des véhicules : quand il n'y en a plus... Il y en a encore !
"Mais pourquoi"taxer"???
Ca va résoudre quoi? Avec le fric on va mettre du ciment pour boucher le trou dans couche d'ozone?
De la connerie en barre...les jaloux veulent taxer, forcément  faut se venger de ceux qui peuvent."
24 nov. 2022
Philippe MILLAN commented on 40 millions d'automobilistes's blog post Taxe au poids des véhicules : quand il n'y en a plus... Il y en a encore !
"Ca pour causer et faire des télés chez 40 millions...
Mais pour agir dans la rue, personne...et nous serions 40 millions????
Les motards, bien moins nombreux, eux se bougent et gagnent."
24 nov. 2022
Joël Godard replied to 40 millions d'automobilistes's discussion 37% des ralentisseurs sont non conformes
"Bonjour,
Oui et je vis près d’un des pires exemples de l’hexagone. La route qui longe la berge de la Seine de Rolleboise à Mericourt dans les Yvelines. Où comment le Maire de Rolleboise s’est mué en délinquant il y a 20 ans."
23 oct. 2022
Jean-Paul Clairefond replied to Jacques Parcoureur's discussion Les Ronds-points ne tournent pas rond.
"La question n'est pas de savoir s'il y a un panneau ou pas, mais bien de savoir de quel panneau il s'agit :
certains giratoires sont à priorité aux "tournants", d'autres à priorité aux "entrants", et toute la difficulté vient de cette dualité…"
3 juil. 2022
NUZMAS replied to Jacques Parcoureur's discussion Les Ronds-points ne tournent pas rond.
"Des marioles dans votre genre sont les meilleurs clients des carrossiers. Finissons en avec l'imbécile priorité à droite et les tarifs d'assurance baisseront sérieusement."
2 juil. 2022
NUZMAS replied to Jacques Parcoureur's discussion Les Ronds-points ne tournent pas rond.
"Pour mettre fin à tout risque et toute discussion inutile, il faut abandonner la stupide priorité à droite. La priorité à gauche a fait ses preuves depuis quelques de décennies. On y est très habitué. Elle est infiniment mieux adaptée à notre volant…"
2 juil. 2022
RL posted a discussion
Bonsoir,je suis en quête de conseils éclairés. Je me suis arrêté brièvement à cheval sur la chaussée et le trottoir en agglomération.Trois semaines plus tard, j’ai reçu deux PV (même lieu, même heure et même agent) : un pour stationnement sur…
21 avr. 2022
Michel danon posted a discussion
BonjourNos voitures ont été enlevées illégalement  deux fois à dix mois d'intervalle sur l'allée des fortifications à Paris, j'ai contesté et obtenu gain de cause du tribunal de police deux fois avec tout  l'effort et le temps passé  que cela…
12 avr. 2022
Sanchez Joseph posted a discussion
bonjour je viens d'aquerir uneArona essence en LOA et je souhaiterais savoir si j'ai le droit de la passe à l'ethanol chez Seat il m'on dit que non pour une question de garantie sur le moteur comment faire en ce cas des économies ? 
25 mars 2022
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